Vendredi 3 avril, le Conseil d’Etat rejetait sans débat une requête de l’Union des Jeunes Avocats de Paris (UJA), de l’Association des Avocats Pénalistes (ADAP) et du Conseil National des Barreaux (CNB) portant sur l’ordonnance du 25 mars 2020, qui convient diverses mesures d’exception en matière de détention provisoire. Maîtres Rachid Madid et Alexandre Couilliot, avocats pénalistes au Barreau de Paris, décryptent pour Le Monde du Droit ces mesures d’exception.
Rachid Madid et Alexandre Couilliot, lemondedudroit.fr